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ARMÉNIE – Hommage au Panthéon militaire « Yerablur » à l’occasion du 32e anniversaire de la formation de l’armée arménienne

 Le 28 janvier, à l’occasion de la Journée de l’Armée, le Premier ministre Nikol Pachinian, accompagné du Président de la République Vahagn Khatchatourian, du Président de l’Assemblée nationale Alen Simonian et les hauts dirigeants du pays, s’est rendu au panthéon militaire «Yerablur» pour rendre hommage à la mémoire des Arméniens qui ont sacrifié leur vie pour l’indépendance de la Patrie.

Le Premier ministre a déposé des fleurs sur les tombes du Commandant Vazguen Sarkissian et du Général Andranik, ainsi qu’une gerbe sur le complexe commémoratif qui perpétue la mémoire des combattants de la liberté tombés au combat.

Plus tard, dans son discours prononcé lors de la cérémonie organisée pour la même occasion au complexe sportif et de concerts Karen Demirdjian à Erevan, Pachinian a souligné l’importance de cette journée, rendant hommage aux soldats et volontaires tombés au service de la République d’Arménie. Il a appelé à une réflexion sur les défis rencontrés dans la construction et la sécurité de l’armée, prônant un changement de mentalité et une accélération des réformes. Il a notamment évoqué le programme ‘Défenseur de la Patrie’, saluant son succès et annonçant l’introduction du service militaire volontaire-obligatoire pour les femmes. Le Premier ministre a également souligné l’importance de renforcer le pilier intellectuel de l’armée et de diversifier les relations en matière de sécurité.

Le pacte de « nonagression » proposé par Pachinian rejeté par Bakou

Dans son discours, Pachinian a également fait part d’une proposition soumise à Bakou prévoyant de signer un pacte de «non-agression»

Cette proposition aura été de très courte vie, puisque la partie azerbaïdjanaise a répondu par un refus à peine 24 heures après la déclaration de Pachinian. C’est Aykhan Hadjizade, le porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères qui a annoncé la réponse négative de Bakou, en tentant également d’expliquer les motivations, qui disons-le, en réalité n’ont absolument rien avoir avec l’essence même de la proposition et semblent être plutôt de vulgaires prétextes qu’autre chose.