Le bureau arménien du Comité International de la Croix-Rouge (CICR) rapporte qu’un mois après l’agression azerbaïdjanaise, un petit nombre de personnes restent toujours chez elles, en Artsakh.

« Nous poursuivons la recherche de ces personnes et répondons à leurs besoins. Nos collaborateurs parcourent toujours les lieux centraux et les villages de montagne à la recherche de signes de vie et tendent la main à ceux qui en ont besoin. Un petit nombre de personnes sont restées chez elles, certaines par leur propre choix et d’autres parce qu’ils ne peuvent pas partir par leurs propres moyens. Nous leur fournissons de la nourriture et une assistance médicale, les aidons à établir des contacts avec leurs proches ou créons une opportunité pour leur transport vers l’Arménie », rapporte le bureau arménien du CICR. ■