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L’Azerbaïdjan bombarde l’Artsakh

« L’Artsakh sous le feu »

Dans l’après-midi du 19 septembre, les forces armées azerbaïdjanaises en violant le cessez-le-feu et ont commencé à bombarder l’Artsakh, y compris la capitale Stepanakert, sous le faux prétexte d’« opérations antiterroristes ».

Dès le début des opérations militaires de l’ennemi, les réseaux de téléphones portables et Internet ont été interrompus sur le territoire de l’Artsakh.

L’Armée de Défense de l’Artsakh demande et exhorte la population à rester dans les abris et à ne suivre que les informations officielles.

D’autre part, selon le journal « Azatutyun », Bakou a proposé un « couloir humanitaire » à la population de l’Artsakh.

Le ministère de la Défense de l’Azerbaïdjan a indiqué que « afin d’assurer l’évacuation de la population, des couloirs humanitaires et des points d’accueil ont été créés sur la route de Latchine et vers d’autres directions. L’assistance médicale nécessaire, l’eau potable et la nourriture seront fournies aux femmes, aux enfants, aux personnes âgées, ainsi qu’aux handicapés et aux malades.

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Artak Beglarian : « Le régime génocidaire d’Aliev a déclenché la phase sanglante du génocide d’Artsakh. »

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Guegham Stepanian, défenseur des droits de l’homme d’Artsakh : « C’est un génocide, rien d’autre. »

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Selon le ministère arménien de la Défense, la situation aux frontières de l’Arménie était assez stable à 14h00 heure locale.

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Bakou réitère sa demande de retrait complet des forces armées arméniennes d’Artsakh. Le ministère arménien de la Défense affirme que l’Arménie n’a pas d’armée en Artsakh.

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La porte-parole du ministère des Affaires étrangères de Russie, Maria Zakharova : «  La Russie appelle LES PARTIES EN CONFLIT à mettre fin à l’effusion de sang au Karabakh. »

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Toïvo Klaar, le représentant spécial de l’Union européenne pour la crise dans le Caucase du Sud et la Géorgie souligne la nécessité urgente de l’instauration du CESSZ-LE-FEU.

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Adresse aux « PARTIES EN CONFLIT » au lieu de s’adresser à l’agresseur. Appel à « INSTAURATION URGENTE DU CESSEZ-LE-FEU » au lieu de faire appel à l’agresseur d’arrêter l’effusion de sang. Y a-t-il vraiment besoin de commentaires supplémentaires ?

 

Éditorial